Image / numérique / automatique / organique/

À la lecture de Paysage sous surveillance de Heiner Müller, j’ai eu une sensation de désorientation et en même temps de familiarité. Je crois qu’il y a une sorte de déplacement, ou enchaînement du sens rendu possible par les métaphores en libre association. Chaque mot encercle un domaine sémantique d’expériences, de contradictions, d’images, d’émotions, de sons, d’odeurs, bref, de morceaux de perception. Müller ouvre les veines du langage, pour ainsi dire, et permet les associations de se produire librement mais avec des accidents et des allers-retours.

Pregunta el arte: ¿Para qué los artistas? / Question d’art – À quoi bon un artiste?

“Un cuadro –antes de ser un caballo de batalla, una mujer desnuda o una anécdota cualquiera –es esencialmente una superficie plana cubierta de colores reunidos de determinado modo”. René Passeron / « Un tableau – avant d’être cheval de bataille, une femme nue ou une quelconque anecdote – est essentiellement une surface plane recouverte de couleurs en un certain ordre assemblés ». René Passeron